"
Christ est ressuscité ! " Cette phrase est affichée
en grand, avec un spot qui l'éclaire vivement, visible dès l'entrée.
Un bouquet de fleurs fraîches est placé près du lectionnaire.
L'accueil
: l'animateur y fait un rappel succinct des événements de la Passion
célébrée dans la Semaine Sainte : Entrée à
Jérusalem (Rameaux), la Cène du Seigneur (Jeudi saint), le procès
et la mort de Jésus (Vendredi Saint).
l'évangile
selon saint Jean, chap. 20, 1-9. Marie Madeleine, puis Pierre et
" l'autre disciple " au tombeau : il est vide. Jésus est ressuscité.
Chant de l'Alléluia, avant et après la lecture. Le commentaire
dialogué laisse libre cours aux réactions et questions des enfants.
Un
déplacement est prévu : passer d'un lieu obscur à un lieu
plein de lumière. Le lieu obscur a été aménagé
sommairement avec un orifice pour simuler le tombeau ouvert (une pièce
dans le noir, avec une porte ouverte). Des enfants férus de cabanes,
auront été invités la veille à venir préparer
cet espace qui, à défaut de pièce disponible, peut être
délimité par de grands tissus ou panneaux. Dans le lieu plein
de lumière, qui est celui de la célébration avec la phrase
très éclairée : " Christ est ressuscité ! ",
un grand cierge est placé au centre en guise de cierge pascal. Tout
le groupe fait le déplacement du lieu obscur au lieu de lumière,
non comme une procession, mais à la manière d'une visite guidée
(par l'animateur) où les questions et les commentaires, en référence
à l'évangile de Jean préalablement lu, sont bienvenus sans
craindre l'alacrité des enfants heureux de bouger. Puis tous entourent
le " cierge pascal " et chantent la résurrection : Alléluia,
ou un chant de Pâques du répertoire paroissial.
La
procession des offrandes, par les enfants qui rejoignent l'assemblée
pour l'Eucharistie, revêt toute son importance pour cette messe de Pâques.
Tenant compte de la présence de fidèles occasionnels, non avertis
de ce qui est fait pour et avec les enfants, le célébrant précise
qu'ils ont célébré entre eux la 1ère partie de la
messe : la liturgie de la Parole.
sa
marche à vers le désert, le peue d'Isrl, à bout de courage,
récrimina contre Dieu et contre Moïse: "Pourquoi nous avoir fait
monter d'Égypte ? Etait-ce pour nous faire mourir
dans le désert, o
Évangile de Jésus christ selon saint Jean
Le premier jour de la semaine, Marie
Madeleine se rend au tombeau de grand matin ; c'était
encore les ténèbres. Elle s'aperçoit
que la pierre a été enlevée du tombeau.
Elle court donc trouver Simon-Pierre et l'autre disciple,
celui que Jésus aimait, et elle leur dit :
" On a enlevé le Seigneur de son tombeau, et
nous ne savons pas où on l'a déposé.
" Pierre partit donc avec l'autre disciple pour se
rendre au tombeau. Ils couraient tous les deux ensembles,
mais l'autre disciple courut plus vite que Pierre et arriva
le premier au tombeau. En se penchant, il s'aperçoit
que les linges sont posés à plat ; cependant
il n'entre pas. Simon-Pierre, qui le suivait, arrive à
son tour. Il entre dans le tombeau, et il aperçoit
les linges, posés à plat, ainsi que le suaire
qui avait entouré la tête de Jésus,
non pas posé avec les linges, mais roulé à
part à sa place.
C'est alors qu'entra l'autre disciple, lui qui était
arrivé le premier au tombeau. Il vit et il crut.
Jusque-là, en effet, les disciples n'avaient pas
compris que, selon l'Écriture, il fallait que Jésus
ressuscite d'entre les morts.
l
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